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Les artistes

... Et bergère, Céline est loin de l'image que l'on se fait d'une diva ! Après un début de carrière classique de chanteuse d'opéra, sa quête de sens et sa soif de vivre en pleine nature la conduisent à revenir à ses sources alsaciennes en 2018. Elle décide alors de s'engager dans des projets de démocratisation de l'opéra et de sauvegarde du patrimoine familial comme les Forges de Jaegerthal.

Céline démarre sa formation artistique par le violoncelle et la danse puis se tourne naturellement vers le chant. Elle étudie au CNR de Strasbourg et à la Haute Ecole de Musique de Lausanne dont elle sort diplômée en 2012 avec les félicitations du jury. Lauréate des bourses Leenaards, Mosetti, Richard Wagner, fondation Paderewski, elle obtient de nombreuses récompenses parmi lesquelles en 2013 le 2ème prix du concours international Dvorak ainsi que le prix spécial du Festival du Printemps de Prague la même année. Elle est également finaliste du Belvedere en 2016.

Membre de la prestigieuse Académie de la Scala de Milan pendant deux ans, Céline Mellon chante en Espagne, Belgique, Suisse, Allemagne, Maroc, Italie, Afrique du sud, Japon, Allemagne et travaille avec des chefs de renom tels que : Chung, Chailly, Albrecht, Lopez- Cobos, Koopmann, Fasolis, Guschlbauer, Beermann, Gamba, Rizzi-Brignoli, Vieu.

 

Sur scène, elle incarne les rôles de La reine de la Nuit, Gilda, Gretel, Pamina, Thérèse (les mamelles de Tiresias), la Petite renarde (La petite renarde rusée), Despina, Zerlina, Despina, Anna Reich, Blondchen (die Entführung aus dem Serail), Carolina (Il matrimonio segreto)...

 

En 2020, elle crée l'association LA VOIX DES FORGES et met aujourd’hui ses compétences de conception, d' organisation et de direction, en plus des ses compétences vocales au service du projet.

 

Sur scène cette année, elle sera à Gilda dans Rigoletto et Micaëla dans Carmen.

© Indris Huqi

céline mellon,soprano 

fondatrice et directrice de
la voix des forges

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distribution de Carmen 

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Pauline Sabatier commence sa formation au sein de la "Maîtrise de l’Opéra de Lyon" et étudie parallèlement le piano et la danse contemporaine. En 2002, elle intègre la classe de Gary Magby au sein de la Haute Ecole de Musique de Lausanne dont elle sort diplômée en 2007. Elle se perfectionne en "Master-Class" à Lausanne, Verbier et Royaumont auprès de Christa Ludwig, Edda Moser, Alain Garichot, Françoise Pollet, Michel Sénéchal, Thomas Quasthoff et Roger Vignoles.

En 2007, elle est invitée à intégrer pour deux saisons l’Opéra-Studio de "l’Opéra National du Rhin". Elle y abordera les rôles de Rosine, Mélisande, Concepcion, Béatrice, Chérubin ou Dorabella. En 2009,  l’ADAMI décerne à Pauline Sabatier le prix "Révélation Jeune Artiste Lyrique" et en 2010 elle remporte le second prix du concours de chant de Béziers.

 

On l’entend dans les parties d’alto du Requiem de Mozart, de Soprano II de la Grande Messe en ut (Opéra de Tokyo, Alte Oper Francfort…), d’alto de La Passion selon Saint Mathieu,  de soprano II du Magnificat et de la Messe en si mineur de J.S. Bach (Philharmonie de Cracovie, MC2 Grenoble, Halle aux Grains de Toulouse…) ou de mezzo dans le Requiem de Duruflé (Victoria Hall - Genève)

 

Elle incarne sur scène les rôles de : Cherubin dans Les Noces de Figaro de Mozart (Opéra National de Montpellier), Lisetta dans Le Monde de la Lune de Haydn (Théâtre Mouffetard), Marianne dans La Chatte Métamorphosée en Femme d’Offenbach (Auditorium du Musée d’Orsay), Lazuli dans L’Étoile d’Emmanuel Chabrier (Opéra National du Rhin et Opéra de Limoges), Deuxième Dame dans La Flûte Enchantée de Mozart (Grand Théâtre de Genève et Opéra de Toulon), Flora dans La Traviata de Verdi (Opéra de Tours), Carmen de Bizet (Salle Maurice Ravel, Levallois), Metella dans La Vie Parisienne de Offenbach (Opéra de Saint-Etienne), Hélène dans La Belle Hélène de Offenbach (Opéra de Nice), The mother dans The monster of the maze (Philharmonie de Paris)...

 

Pauline Sabatier crée en 2015 l'ensemble Les Vanités.

Pour ses débuts aux forges, Pauline incarnera le rôle titre dans La Grande Duchesse de Gerolstein d'Offenbach. 

© Yann Jules Gayet

pauline sabatier,
 

La grande Duchesse

camille
tresmontant,

 
fritz

Originaire d'Avignon, Camille Tresmontant découvre le chant lyrique aux côtés du baryton

Pierre Guiral, avec lequel il fait l'apprentissage de la scène. Après un DEM obtenu au conservatoire de Nîmes dans la classe de Daniel Salas, Camille Tresmontant intègre le CNSMD de Lyon. Durant ses études, l'Opéra de Marseille lui confie son premier engagement dans une production de La Traviata, ainsi que le rôle de Vincent (Mireille) au foyer de l'Opéra.

Camille a été membre du Studio de l'Opéra National du Rhin pendant deux saisons, où il participe à des mises en scène de Robert Carsen (Don Carlo) et d'Olivier Py (Pénélope). Il retrouve Marseille pour l'Aiglon, Madame Butterfly, et rejoint l'Opéra de Toulon pour La Flûte Enchantée. Il découvre son premier Tamino lors d'une production en Guadeloupe, puis est engagé par l'Opéra de Bordeaux pour le Stabat Mater de Rossini, avant de rejoindre Venise à l'invitation du Palazzetto Bru Zane.

Camille a interprété le rôle de Belmonte dans une tournée de l'Enlèvement au Sérail, sous la direction de Julien Chauvin. Il a également pris part aux productions de La Flûte Enchantée à l'Opéra de Tours, de Phèdre à l'Opéra de Limoges et de Faust à l'Opéra de Nice.
A l'Opéra de Saint-Etienne, Camille a incarné Don Ottavio et Rodriguez dans Don Giovanni et Don Quichotte. En 2021 et 2022, il aborde le rôle de Ramiro dans une tournée de Cenerentola de Rossini et retrouve notamment l'Opéra de Marseille pour Guillaume Tell, avant de s'envoler pour la Guadeloupe pour une production de Don Giovanni. Il a récemment incarné Camille de Coutançon à l'Opéra de Saint-Etienne pour la Saint-Sylvestre 2022/23.

Il sera en 2024 de retour à l'Opéra de Marseille pour une production de Don Quichotte.

Camille interprètera pour la première fois le rôle du jeune soldat Fritz, amoureux de Wanda (mais il trouve que sa soeur, la Grande Duchesse, est pas mal non plus...). 

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Comédien aux multiples facettes, Alexandre évolue naturellement vers le théâtre, le jeu à l’écran, la mise en scène et le chant lyrique. Après des études en musicologie et une courte carrière d’enseignant, il s’engage dans sa passion pour la scène, notamment avec le cabaret bilingue La Budig.

Il campe ensuite des rôles- titre du répertoire au théâtre (Cyrano de Bergerac, Le roi se meurt pour la Cie La Claque), met en scène des versions de poche d’opéra (La flûte enchantée, Le barbier de Séville pour la Cie La Chambre à Airs, La belle Hélène pour la Cie Brin de Folie) et incarne des personnages truculents du répertoire de l’opérette (Jupiter dans Orphée aux Enfers, Duparquet dans La Chauve Souris). Il fait également quelques apparitions télévisuelles et prête sa voix pour des documentaires et des livres audio. Son goût pour la littérature le pousse à participer à la création de la revue littéraire Schnaps! et à explorer le monde de l’animation : il signe ses premières co-écritures de court-métrage avec Sylve (2020), Lumen (2021) et Upsilon. 

 

Son engagement dans le monde de la médiation fait partie intégrante de son travail artistique : il anime des ateliers pédagogiques, œuvre pour la création de spectacles à destination des jeunes publics et l’intervention auprès de publics éloignés de la culture. 

Alexandre fait partie de l'aventure de la Voix des Forges depuis le tout début. 

Il reprendra cette année son rôle de narrateur / guide dans notre version de poche du Barbier de Séville et vous pourrez pour la première fois découvrir ses talents vocaux puisqu'il sera notre Général Boum dans la Grande Duchesse

Et pif, paf, pouf ! Et tarapapapoum ! Il est lui le général Boum Boum ! 

Retrouvez-le à la rentrée dans le spectacle de cabaret La Cage aux Piafs (aux côtés de Mathilde Melero, scénographe des Forges cette année) et en janvier dans l'incontournable Revue Scoute ! 

© Terry Haddad

alexandre sigrist,
 

général boum

gabriel 
courvoisier,

 
baron puck

Né à Genève, Gabriel Courvoisier commence son apprentissage de la musique en étudiant le piano. Il découvre son intérêt pour le chant en rejoignant la Maîtrise du Conservatoire Populaire, ensemble avec lequel il fera ses premiers pas sur la scène du Grand-Théâtre de Genève.

 

Il commence des études supérieurs de chant dans la classe de Gary Magby à l’HeMu de Lausanne où il obtient son Bachelor of Arts HesSo en 2012. Entre 2011 et 2013, il participe à plusieurs productions de l’Opéra de Lausanne en tant que choriste.

 

En 2013, Gabriel poursuit ses études au Royal College of Music de Londres dans la classe de Justin Lavender. Il obtient son Master of Music in vocal performance en 2016. Au sein de l’école, il interprétera notamment les roles de Kudriaš (Káťa Kabanová), Danilo (The Merry Widow), Eisenstein (Die Fledermaus), Lysander (A Midsummer Night’s Dream).

 

Entre 2015 et 2020, il chante dans divers coeurs d’opéra au Royaume-Uni, comme Burry Court Opera ou Winslow Hall.

En avril 2022, Gabriel intègre l’ensemble vocal de Lausanne.

 

Gabriel se produit régulièrement en tant que soliste. Il a interprété, entre autres, les roles de Rodolfo (Arcadian Opera, la Bohème 2016), Le Dancaïre (Victoria Hall, Carmen, 2017), Tamino (Pontarlier, Die Zauberflöte), Basilio (Festival du Toûno, Le Nozze di Figaro, 2019).

 

Pour sa première participation au festival La Voix des Forges, Gabriel incarnera le Baron Puck, précepteur de la Grande-Duchesse.

 

Si vous aimez la montagne et la musique, vous pouvez retrouver Gabriel cet été au Festival du Toûno où il interprétera le rôle du Dancaïre dans le célèbre opera Carmen de Bizet.

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gabriel
boileau-cloutier,

 
prince paul

Originaire du Québec, Gabriel Boileau Cloutier se forme au chant lyrique et à l'art de la mélodie à l'université de Montréal sous la direction de la soprano Rosemarie Landry, du baryton John Fanning et du ténor Richard Margison. Il y complète son Master en 2021. Il s'envole ensuite vers la France où il complète en 2023 un cycle de spécialisation avec Mélanie Moussay au Conservatoire de Strasbourg. 

 

Évoluant en tant que soliste et choriste, on a pu l'entendre récemment dans les choeurs de l'opéra National du Rhin dans West Side Story et à l'opéra National de Lyon dans Tannhäuser. Il s'est produit dans la dernière année comme soliste avec divers ensembles régionaux dont L'Ensemble vocal de Strasbourg, Le Gradus Ad Musicam, La chorale Strasbourgeoise, Hortus Musicalis.

 

Vous pourrez l'entendre prochainement dans le Bas-Rhin dans La Misa Criolla de Ariel Ramirez avec l'ensemble Le Bon Tempérament les 23 et 24 septembre.

 

Abordant le personnage de Pierre-Eugène/Prince Paul d'abord avec méfiance, il réalise aujourd'hui toute la chance qu'il a de pouvoir incarner ce personnage empreint de perfection. Vous le verrez bien, ce jeune homme a tout pour plaire, et pas qu'au niveau vestimentaire !

jean pierre
schlagg,

 
nepomuc

C'est au détour d'une rencontre dans les Vosges du Nord que Jean- Pierre Schlagg découvre le festival. Une rencontre loin d'être anodine puisqu'elle actionne rapidement une collaboration avec La Voix des Forges...

Symbole de la culture locale, Jean-Pierre est un artiste régional bien connu du grand public.
 

Depuis 40 ans, il est impliqué dans le cabaret et le théâtre et fréquente des salles prestigieuses en France, en Allemagne et en Suisse. Comédien bilingue, Jean-Pierre Schlagg interprète de nombreux

rôles dans des pièces d'auteur, de Shakespear à Bauer en passant par Brecht et Koltes.
 

Schlagg, c'est également une voix ! Dans son répertoire, des chansons traditionnelles revisitées, aussi bien en alsacien qu'en français mais également des créations.

 

À l'opéra, on se rappelle de lui dans la Veuve Joyeuse, Léhar, Bobèche dans Barbe Bleue d'Offenbach ou encore Frosch dans die Fledermaus de J.Strauss.
 

Jean-Pierre Schlagg interprète le drôle et grotesque Népomuc dans La Grande duchesse

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